Les gens de Bilbao naissent où ils veulent : premier roman (Littérature Française) (French Edition)

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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent : premier roman (Littérature Française) (French Edition)

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Description

En cuanto a la forma del libro, se divide en 33 capítulos muy cortos y un epílogo. La autora cambia de la primera a la tercera persona dependiendo de la línea temporal en la que situe la narración, lo cual me ha parecido un acierto, pues me gustan las obras que entremezclan dos estilos para dar voz a sus protagonistas. En algunas ocasiones, este tipo de recursos dan lugar a confusión, pero no es algo que suceda en esta obra, Larrea sabe como llevar a cabo este recurso. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l’enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l’équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l’orphelinat pour s’embarquer en mer. Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France. Tous deux n'ont qu'un souhait, fuir ce passé et le traumatisme provoqué par leur abandon, fuir ces institutions religieuses écrasantes et s'éloigner de cette Espagne franquiste. Avec Les gens de Bilbao naissent où ils veulent, Maria Larrea livre un témoignage autobiographique avec des mots bruts et les images qu’ils renvoient sur l’abandon, la filiation et la quête de l’identité. Cette vérité rencontre l’Histoire de l’Espagne, mais rejoint celle de tous les pouvoirs autoritaires qui espèrent l’extinction pour mieux affirmer leur puissance. Remerciements Scénariste pour le cinéma, Maria Larrea a su projeter les éléments de son autobiographie dans un premier roman tendu comme une arbalète, décochant ses scènes fortes dans le torrent d’une narration aux mots cinglants, toute entière au service d’une urgence impérieuse : « raconter mon histoire », « me la réapproprier », « récupérer le roman familial », « écrire ma vérité ». Une vérité sans laquelle les non-dits ont longtemps et insidieusement creusé leur sillon douloureux, jetant notamment Maria adolescente dans l’instabilité, la rébellion, enfin dans un mélange de honte, de rancoeur et de colère l’empêchant de se construire. Son parcours tumultueux frappe d’autant plus qu’elle nous le livre sans fard, avec une sincérité presque brutale, sur le fond implacable d’une Espagne franquiste misérable et violente, relayé par celui du déracinement et de l’ostracisme vécus dans l’exil, avant que passé et présent ne s’entremêlent autour de l’affaire des bébés volés du franquisme et du parcours du combattant des victimes pour retrouver leur identité.

NetGalleyFrance et @Grasset pour #lesgensdeBilbaonaissentouilsveulent de @marialarreal Puis quelques extraits

J’ai aimé que les parents soient les concierges du théâtre de la Michodière, jetant un côté théâtrale sur la vie de la narratrice. Pour l’espagnol modeste en temps de dictature, l’enfantement est la seule valeur, le produit intérieur brut.

L'histoire fait alterner les points de vue de trois orphelins d'une même nation. Maria Larrea a structuré son texte avec Julian d'une part, son père, Victoria, sa mère et Maria, son double. Réalisatrice et scénariste, Maria Larrea propose dans Les gens de Bilbao naissent où ils veulent son premier roman où elle raconte la fierté du Pays basque, l’abandon, les traumatismes et la filiation comme une urgence. Pero bueno, a lo que íbamos, que me enrollo, es una novela que me ha encantado de principio a fin. Me ha gustado mucho conocer la historia de María, perderme entre sus líneas y ver una realidad que a veces cuesta comprender. Les gens de Bilbao naissent où ils veulent raconte la quête de son auteure, Maria Larrea, pour retrouver sa famille biologique. C'est un roman profondément intime qui, par un montage alterné, nous entraîne dans l'histoire d'une famille, la mère, le père et leur enfant, l'histoire de trois destins. Le garçon, c’est Julian. La fille, Victoria. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice.

Vouardoux

Un roman vrai sur une adoption du temps de Franco qui met en lumière le ressenti de l’enfant devenu adulte. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l'enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l'équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l'orphelinat pour s'embarquer en mer. Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France.

Joséfa avait de la répartie, cette verve basque si particulière. Avec ses consœurs, elle n’aimait rien tant que se moquer des hommes. Tous éjaculateurs précoces, pas doués, voir impuissants. » Hay libros que nos llaman por sus cubiertas, otros por sus sinopsis, o, como en este caso, a mí me llamó la atención por ese título. Le sumamos que vi que había ganado el premio a mejor novela debut en Francia y ya se puso en mi radar por completo. Issue de cette famille modeste d’immigrés espagnols, Maria, leur fille retrace son enfance, sa découverte de la France et du cinéma qu’elle étudie pour sortir de son milieu. C’est lors d’une séance de tarot divinatoire qu’émerge un doute, une vérité qu’elle avait toujours pressentie. Sa mère aimante n’est pas sa mère biologique.Ce qui au début paraissait être un simple récit autobiographique prend soudain une autre dimension avec une allure d'enquête policière. Les mots employés sont authentiques et on peut dire que Maria Larrea ne fait pas dans la dentelle quand elle raconte une scène. Il vit, il vibre ce roman. Celle du père faisant marcher sa fille tous les étés dans les ruse de Bilbao afin qu’elle retienne la géographie de sa ville natale.

Ce premier roman, aussi habilement composé qu'habité par une écriture passionnée, énergique, sans concession, est autant un témoignage remarquable qu'une entrée réussie en littérature. l'âge adulte, Maria rumine et carbure au Lexomil, ses relations avec ses parents, son travail de réalisatrice, tout cela s'avère sans saveur, rien ne l'enthousiasme.Los de Bilbao nacen donde quieren, de María Larrea (@marialarreal), es una de esas autoficciones que tanto me gustan últimamente. En esta historia, María misma nos cuenta tanto su vida como la de sus familiares, vidas nada fáciles hasta llegar a lo que hoy son. Aussi, l'autrice se montre sans concession envers ses parents, répète que son père est un ivrogne, qu'il dépense sans compter, qu'il veut s'affirmer comme le plus riche des pauvres !



  • Fruugo ID: 258392218-563234582
  • EAN: 764486781913
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